mercredi, décembre 13, 2006

À LA FENÊTRE D'UN CAFÉ

À la fenêtre d'un café
oubliant les amours déçus,
lors nous étions des étrangers
à la recherche d'un amour.
Dans la mémoire de nos tendresses
je goûte les odeurs d'été
de tes cheveux noués en tresses
de ta peau noire satinée.
Dans la douce chaleur du jour
observant les bruits de la rue
j'attends ton retour ma beautée
à la fenêtre d'un café.